Cette année 2018, une maman Rougequeue noir m'a fait l'honneur de sa présence, et par deux fois, derrière une lampe extérieure, en hauteur.
Une année, un nid avait déjà été construit, et malheureusement, les chats avaient été plus malins.
J'ai pu suivre quasiment tous les jours, à la manière d'un journal intime, l'évolution des petits, de la deuxième couvée en particulier. En me perchant sur un fauteuil de jardin, j'arrivais à les apercevoir d'abord, puis à les voir, de mieux en mieux, jusqu'aux derniers instants, et au premier vol du dernier oisillon à quitter le nid ! J'étais pas peu fière de l'avoir immortaliser, en vidéo, et d'avoir ensuite pu lui tirer quelques portraits.
Ils étaient deux à nourir les petits, et quand l'un quittait le nid, l'autre arrivait. Difficilement distinctif d'ailleurs, le jeune mâle ressemblant fortement à la femelle.
Je ne connaissais pas cette oiseau, ou plutôt je ne l'avais jamais remarqué. Et depuis, j'en vois partout autour de moi. Et quand je quitte le Pays de Gex pour le Haut-Jura, je retrouve le même cri très distinctif, "tic-tic-tic", une famille rougequeue a aussi élu domicile à la maison du haut !
Je vous laisse avec une galerie riche de mouvements, postures et expressions. La femelle est très protectrice et très expressive en conséquences !
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